Aurélie Charles-Godart

Psychothérapeute


FORMATION :

  • Maître-praticien PNL
    La Tempérance (2009)

  • Praticien PNL-Hypnose Ericksonienne
    La Tempérance (2007)

  • Maîtrise de Psychologie clinique et pathologique
     université de Bourgogne (2005)

Qui suis-je ?

Bonjour à tous et à toutes,

Je m’appelle Aurélie Charles-Godart, j’ai décidé d’écrire cette lettre ouverte pour tous ceux et celles qui veulent me connaître davantage…

Plus qu’un métier, « psy » est, pour moi, une vocation. J’ai voulu faire ce métier avant même de savoir le prononcer ! Vous savez, quand la maîtresse vous demande: « qu’est ce que tu veux faire quand tu seras grand(e) ? », alors que mes camarades répondaient « astronaute » ou encore « danseuse étoile », moi du haut de mes 9 ans, je répondais : »je veux être spicologue, madame ! ».

Et voilà, l’aventure commençait…

J’ai mis tout en oeuvre pour atteindre mon but, j’ai même dû faire un bac scientifique…MOI….qui détestait les maths, la physique, ou encore la chimie, j’ai dû apprendre patiemment les théories, théorèmes et autres modèles, qui je le savais, ne me serviraient pas à grand chose dans ma vie quotidienne, mais qui m’ouvrirait les portes successives des diplômes nécessaires à la pratique de, ce qui allait devenir quelques années plus tard d’acharnement…MON METIER.

Et Dieu sait que j’en suis fière de mon métier, c’est celui que j’ai choisi il y a, maintenant, 20 ans, et c’est celui que je pratique aujourd’hui !!!

Ca n’a pas toujours été facile à la fac, j’ai été tour à tour passionnée puis désenchantée, jusqu’à ce que je sois dégoûtée, non pas du sentiment qui m’animait depuis des années, celui de faire du bien autour de moi, d’aider les autres à surmonter des difficultés, ou simplement de redonner de l’espoir aux personnes fragilisées par la vie…non, ça, ça ne m’a jamais quittée, bien au contraire, c’est ce qui m’a permis de me remettre en question souvent et, d’année en année, d’avancer jusqu’à mon but.

Ce qui a été difficile, c’est d’une part la déception face à un corps enseignant très distant, peu intéressé par leurs étudiants, et d’autre part la désillusion face à un enseignement riche de théories mais pauvre de techniques pratiques. Ce n’était pas l’idée que je me faisais de la psychologie. Les patients n’étaient, quand même pas, seulement, une succession de cas « hors normes », qu’on fait rentrer dans des « cases » : les « cas pathologiques », ceux qui ont suffisamment de symptômes pour rentrer dans tels ou tels critères diagnostiques ?

Voilà ce qu’on apprend à la fac, poser des diagnostics, utiliser des échelles, des tests, et après…Qu’est ce qu’on en fait ? J’étais frustrée…

L’université n’y est pour rien, elle forme au métier de psychologue clinicien, ce psychologue « au chevet des malades » est censé travailler en clinique, en réseau avec d’autres professionnels de la santé, et évaluer le patient. En aucun cas, l’université nous apprend à traiter les problèmes des patients. Et comment le pourrait-elle ? On est entre 150 et 500 étudiants par amphithéâtre !!!

Evidemment, on a des stages très instructifs mais trop peu nombreux et surtout trop courts (environ 18 mois)…

Alors, si on veut, honnêtement, aider les personnes qui font la démarche, pas toujours facile, de venir nous voir, la moindre des choses, pour nos patients, est d’aller se former à des techniques de psychothérapie reconnues.

C’est alors que j’ai choisi de me spécialiser dans la PNL et l’hypnose Ericksonienne, ce sont deux approches complémentaires qui me correspondent tout à fait. Ce sont des techniques de thérapies cognitivo-comportementales brèves, très dynamiques avec l’utilisation de nombreux protocoles plus intéressants et efficaces les uns que les autres. Je vous laisse les découvrir un peu plus loin dans le site…

Voilà, dans les grandes lignes, mon cursus.

J’espère qu’à travers ces quelques lignes, vous avez pû comprendre un peu ma personnalité et surtout percevoir mon envie d’aider les gens à retrouver la joie de vivre et la paix.

Je vous souhaite, du fond du coeur, d’être heureux dans votre vie…et vous quitte sur ces quelques mots de Johann Kaspar Lavater : « Si le bonheur extérieur n’est que hasard, le bonheur intérieur tu dois le construire toi-même »…

Aurélie, le 01 Avril 2010.